posté le 09-09-2013 à 12:15:14
Plainte d'une femme délaissée
De jour en jour plus distant,
Tu ne faisais que battre des
ailes.
Tu me rabrouais au moment
Où je t'amourachais.
Le moyen efficace
De reprendre ton contrôle
N’était pas une bavure.
C’était juste ta volonté
Sans l'impulsion.
il ne s'agissait pas
D’un envoûtement en toi,
Afin de m'amouracher.
Si je comprends bien,
Ton amour en moi,
N’était qu'au sens sécondaire
D’une autre face.
Ce n'était pas par filtre
d'amour,
Que je t'aurais aimé!
Et je ne serais jamais
amourachée
Par un autre,
Que si tu me l'aurais fais.
Moi, je te comblais de cet
amour
Que tu ne m'avais jamais
donné.
Et même ce qui me semblait
difficile,
Je t'ai tout donne avec
amour.
Aimerais-tu me voir
traverser à la nage,
L’autre bout du monde!
Afin de désirer l'affection
A l'être chérie?
Ô beaux jours ornement?
Me reste que souvenir,
Quand la froideur de ce
temps
Nous confortait.
Et quand la chaleur de ce
temps encore,
Nous amourachait.
Amour perdu, que j'avais
bien concerte
Avec beaucoup d'intimité
Me laisse aujourd'hui,
Une expression fatale.
Enfin, je ne saurais jamais
Oublier tes défauts
Ton sourire remarquable
Qui était doux et zéphyr.
Je t'aime bien.