posté le mercredi 11 septembre 2013 à 17:32 GMT +1
LA GENERATION BOPASSIS, LE GENDRE ISSOUKOU-NDOMBEHINDJE.
LA GENERATION BOPASSIS, LE
GENDRE ISSOUKOU-NDOMBEHINDJE.
Issoukou-Ndombehindjé fils de
Ndombehindjé et de Koumani
engendra avec Ngabo,
1- Itounga-Issoukou
2- Ekazama-Issoukou
3- Epengouangoye-Issoukou
4- Konda-Issoukou
5- Issanga-Issoukou
6- Ombobé-Issoukou
7- Bohindo-Issoukou
8- mbomo-Issoukou
9- Molango-Issoukou.
PREMIERE GENERATION:
I- LES DESCENDANTS D'ITOUNGA-
ISSOUKOU
1- Benga-Itounga
2- Ondongouatoula-Itounga
3- Békapé-Itounga
4- Hangouandoma-Itounga.
II- LES DESCENDANTS D'EKAZAMA-
ISSOUKOU
1- Fayong-Ekazama
2- Bakadji-Ekazama
3- Mekowa-Ekazama
4-Ngoubangoye-Ekazama
5- Mihéboua-Ekazama
6- Tékatéka-Ekazama
7- Ekazama-Ekazama
8- Ongabouanga-Ekazama
9- Ilambouéné-Ekazama
10- Ibébéné-Ekazama
11- Léhoung-Ekazama
12- Bayoli-Ekazama
13- Ewèlè-Ekazama
14-Ndongo-Ekazama
15- Niadi-Ekazama.
III- LES DESCENDANTS DE
EPENGOUANGOYE
1- Ehépa-Epengouangoye...
IV- LES DESCENDANTS DE KONDA-
ISSOUKOU
1- Méyan-Konda...
V- LES DESCENDANTS D'ISSANGA-
ISSOUKOU
1- Békapé-Issanga...
VI- LES DESCENDANTS D'OMBOBE-
ISSOUKOU
1- Ilaha-Ombobé...
VII- LES DESCENDANTS DE
BOHINDO-ISSOUKOU
1- Ndombouangoye-Bohindo...
VIII- LES DESCENDANTS DE
BOULONDO-ISSOUKOU
1- Epando-Boulondo...
IX- LES DESCENDANTS DE MBOMO-
ISSOUKOU
1- Mbokamboka-Mbomo...
X- LES DESCENDANTS DE MOLANGO-
ISSOUKOU
1- Molango-Molango...
DEUXIEME GENERATION:
I- LES DESCENDANTS DE BENGA-
ITOUNGA
1- Hangoyandoma-Benga
2- Abolangoye-Benga
3-Mouanéhouma-Benga.
II- LES DESCENDANTS
D'ONGOUATOLA-ITOUNGA
(aucun)
III- LES DESCENDANTS DE BEKAPE-
ITOUNGA
(aucun)
IV- LES DESCENDANTS DE
HANGOYANDOMA-ITOUNGA
1- Bassoumbou-Hangouandoma
2- Mouadjioma-Hangouandoma
TROISIEME GENERATION:
I- LES DESCENDANTS DE FAYONG-
EKAZAMA
1- Koubapéye-Fayong
2- Issemba-Fayong.
II- LES DESCENDANTS DE BAKADJI-
EKAZAMA
(aucun)
III- LES DESCENDANTS DE MEKOWA-
EKAZAMA (femme)
1- Sandja-Ndongo.
IV- LES DESCENDANTS DE
NGOUBANGOYE-EKAZAMA
(femme)
1- Izozo-Tsendjé
2- Ibenga-Tsendjé bénois.
V- LES DESCENDANTS DE
MIHEBOUA-EKAZAMA
(aucun)
VI- LES DESCENDANTS DE
TEKATEKA-EKAZAMA
(aucun)
VII- LES DESCENDANTS DE
LEHOUNG-EKAZAMA
(aucun)
VIII- LES DESCENDANTS DE
ONGABOUANGA-EKAZAMA
(aucun)
IX- LES DESCENDANTS
D'ILAMBOUENE-EKAZAMA
(aucun)
X- LES DESCENDANTS D'IBEBENE-
EKAZAMA (femme)
1- Ibéba
2- Ngama.
3- Engonda
4-Makéto.
XI- LES DESCENDANTS DE BAYOLI-
EKAZAMA ET NTSONO
1- Mandomba-Bayoli
2- Zoli-Bayoli
3- Békapé-Bayoli
4- Ndongo-Bayoli
5- Bayoli-Bayoli
6-Mekowa-Bayoli
XII- LES DESCENDANTS DE EWELE-
EKAZAMA
(aucun)
XIII- LES DESCENDANTS DE
NDONGO-EKAZAMA
1-Ngondandoungou-Ndongo
michel
2- Mossessé-Ndongo
3- Ndékamouendjé-Ndongo.
XV- LES DESCENDANTS DE NIADI-
EKAZAMA (femme)
1-Djamba-Ngongo
2-Niadi-Ngongo
3- Ndjimbi-Ngongo
4-Ngongo-Ngongo
5- Mouambeya-Ngongo.
QUATRIEME GENERATION:
I- LES DESCENDANTS DE BEKAPE-
ISSANGA
1- Baloiloi...
II- LES DESCENDANTS DE ILAHA-
OMBOBE
1- Papaye-Ilaha
2- Hendjawèlé-Ilaha
3- Bongondouaboulou-Ilaha.
III- LES DESCENDANTS DE
NDOMBOUANGOYE-BOHINDO
1- Bohindo-Ndombouangoye
2- Ndjamessé-Ndombouangoye
3- Bapoto-Ndombouangoye
4- Itassé-Ndombouangoye
5- Ndongo-Ndombouangoye
6- Bassoa-Ndombouangoye.
IV- LES DESCENDANTS D'EPANDO-
BOULONDO
1- Ikaka-Epando
2- Makasso-Epando
3-Mapami-Epando
4- Ntsentsé-Epando.
V- LES DESCENDANTS DE
MBOKAMBOKA-MBOMO
1- Mbomo-Mbokamboka
2-Ndjoba-Mbokamboka
3- Bahoula-Mbokamboka
4- Mabiya-Mbokamboka.
VI- LES DESCENDANTS DE
MOLANGO-MOLANGO
1- Mbonda-Molango
2-Makagna-Molango
3- Makasso-Molango
4-Mandjeung-Molango
5- Métoko-Molango
6-Ibiapiné-Molango
7-M'bagna-Molango
8-Mandjendo-Molango.
posté le mercredi 11 septembre 2013 à 16:20 GMT +1
Mes sentiments, une génèse
Mon cœur gravite sur l’effet de l’emprise,
Que m'a faite ton charme.
posté le mercredi 11 septembre 2013 à 16:10 GMT +1
Cri pour un orphelin
La vie, c'est à toi
Que tes vœux me sont,
Tantôt merveilleux,
Tantôt malheureux.
Je ne saurai même plus te
dire je t'aime.
La vie, c'est encore toi,
Que le futur annonce un
lendemain fatal.
Que soudain, le pressent me
fait déjà subsister
Ses adversités
tendancieuses.
Le passe fut pour moi,
Une époque très antique et
revivante.
La mort, c'est aussi toi,
Que tes voeux mes sont
fatals.
Pourquoi attrister les cœurs
chagrins ?
Pourquoi veux-tu m'induire
A ton front offensif ?
Que les larmes auraient coulé
Sur mon visage sensible.
Qu’à cette terre productive,
Me retournerai en elle dont,
j’ai été bâti.
Et que sur ma tombe,
l'ennemi juré,
Me jettera la première pierre
en vain.
posté le mercredi 11 septembre 2013 à 16:00 GMT +1
Je cherche un amour
Je cherche un amour.
Un amour pacifique,
Qui demeura toujours
Adhèrent et submergeant.
Je cherche un amour.
Un amour tendancieux,
Qui aura de l'intimité
Subsistante et fréquente.
Je cherche un amour.
Un amour convivial,
Qui ne traduira point
Sa valeur à une autre.
Je cherche un amour.
Un amour intérieur,
Qui aura un plaisir de sens,
Moral et psychologique.
Je cherche un amour.
Un amour fiduciaire,
Qui aura de l'affection,
Unique et constante.
Je cherche un amour.
Un amour romantique,
Qui m'ouvrira des vers
En probes et poétiques.
Je cherche un amour.
Un amour capable,
Qui aura une résistance
Vacante et noble.
Je cherche enfin, un amour.
Un amour gracieux,
Qui aura une genèse
conforme,
Aimable et raisonnable.
posté le mercredi 11 septembre 2013 à 15:54 GMT +1
A cheval entre Abobo et Ivindo
Sur un chemin trop large,
S’en allait trop loin à Abobo.
Cet homme à cheval comme
un requin,
Qui subsistait en chemin
pour Ivindo
Sans phatique et sans
haleine
-D’où il allait trop loin ?
-D’où il venait si loin ?
Le voyage lui reste souvenir
Et trop subséquent.
Là-bas où il s'en allait,
Submerger sa vie avec
amplitude.
Longtemps en voyage,
Et rentra soudain,
d'Abobo
Pour Ivindo retrouver son intuision auprès de siens.
posté le mercredi 11 septembre 2013 à 15:40 GMT +1
A nos hommes politique
Ils sont affectés, ces
hommes.
Parce que, leurs loisirs ont
tenu mystère.
En eux-mêmes qui approuvent
leurs dieux de salut.
Mais leurs actes sont déjà
présumés délits.
Tandis que leurs peuples
pleurent.
Ils pleurent, que le pays
fomente le pouvoir.
En chantant tout émus
Aux âmes perdues
Par ceux qui leurs ont suscité
la vie.
Affaiblir d'âmes
Et voir leurs pouvoirs se
manifester.
Ils préméditaient l'âme.
D’autres ensuite, procédaient
des actes ilégaux.
D’autres enfin, préfixaient
en eux-mêmes,
Des projets fastueux
Dans leur fraternité
Et oubliant le peuple,
Qui leur ont rendu espoir.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 11:15 GMT +1
Plainte d'une femme délaissée
De jour en jour plus distant,
Tu ne faisais que battre des
ailes.
Tu me rabrouais au moment
Où je t'amourachais.
Le moyen efficace
De reprendre ton contrôle
N’était pas une bavure.
C’était juste ta volonté
Sans l'impulsion.
il ne s'agissait pas
D’un envoûtement en toi,
Afin de m'amouracher.
Si je comprends bien,
Ton amour en moi,
N’était qu'au sens sécondaire
D’une autre face.
Ce n'était pas par filtre
d'amour,
Que je t'aurais aimé!
Et je ne serais jamais
amourachée
Par un autre,
Que si tu me l'aurais fais.
Moi, je te comblais de cet
amour
Que tu ne m'avais jamais
donné.
Et même ce qui me semblait
difficile,
Je t'ai tout donne avec
amour.
Aimerais-tu me voir
traverser à la nage,
L’autre bout du monde!
Afin de désirer l'affection
A l'être chérie?
Ô beaux jours ornement?
Me reste que souvenir,
Quand la froideur de ce
temps
Nous confortait.
Et quand la chaleur de ce
temps encore,
Nous amourachait.
Amour perdu, que j'avais
bien concerte
Avec beaucoup d'intimité
Me laisse aujourd'hui,
Une expression fatale.
Enfin, je ne saurais jamais
Oublier tes défauts
Ton sourire remarquable
Qui était doux et zéphyr.
Je t'aime bien.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 11:04 GMT +1
Un amour inestimable
Autre fois, à l'ombre où
sombrait ma destiné,
Après que j'eus le temps de
lui dire au revoir.
Pas même un seul mot de
terreur
Qu’à l'instant décrit son
regard triste
À cette imperfection.
Que soudain, elle pleura
malgré l'amour.
Et quand j'eus enfin lui
quitter,
Le pouvoir d'aimer ne
fut autre
Qu’un sentiment de haine.
Je pouvais bien lui tenir
pardon!
Mais, le sentiment n'aurait plus
sa place.
Je me rendis plutôt indigne,
À cet amour inestimable.
Sachant bien qu'aujourd'hui,
Je ne vénère guère à ce visage de noblesse.
Qu’en déclamant alors, ma
décision passagère.
« Tu contempleras avec
scène,
Les émotions selon l'ordre des
événements néfastes. »
Et quand j'eus terminé ce mot,
Elle demeurait triste et confuse.
Puis, quand j'eus tourné le dos,
Elle comprit, que c'était la fin
de tous.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 10:53 GMT +1
Adieu cœur chagrin
Je ne sais plus t'aimer,
Je ne saurai me tenir
Et même m'abstenir.
À toi je pars,
Sans toi, je souffrirai
Et je vivrais.
Je ne t'ai jamais mentis,
Je ne t'ai jamais trahis.
Je pars, oui sans toi,
Je vivrais et cela me suffira.
Tu m’as plutôt mentis,
Tu m’as plutôt soufferts,
Tu m’as plutôt délaisse.
Je pars, adieu à toi,
Je souffrirais et je vivrais.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 10:49 GMT +1
Mon amour au chévet d'amertume
Je te veux d'un coeur qui sait
aimer,
D’un cœur qui sait
pardonner
Et d'un coeur qui sait
charmer.
Je n'en veux plus de tes mots antiques.
Des mots, qui sortent de ta
bouche politique.
Qui vraiment t'écouter,
Aura du tort sur ses lèvres.
Le chemin qui mène au désire
est trop loin
Au cœur qui ne sait aimer.
Mais trop court, au cœur qui
sait bien aimer.
Qui donc pourra te valoriser?
Car l'amour en lui-même n'a
plus sa place.
Mais qu'il suffise encore un
geste,
Te voir évader
Sur un chemin d'amertume.
Mes yeux, te voir.
Et mes oreilles, t’entendre.
Accueillir ta tristesse
Et même voir perdre ton obscénité
Et ta vertu pour à jamais.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 10:41 GMT +1
Mes mots ne te suffissent pas.
Que mes mains flamboient
tes flancs.
Que tes lèvres qui
frémissent,
Pourront t'emmener
largement au désir.
Ton visage triste pourra m'aussi faire
Pleurer d'amour.
Cette nuit, les mots antiques
Qui sortiront de ta bouche,
Le lointain l'a déjà racheté.
Et que demain à l'aube,
Ton sourire séduira le jour.
Hélas, ton amour ne sera
finesse.
Que tes envies te suffisent
encore,
Que ton plaisir grandisse,
Que tes rêves te font
toujours revivre,
Que ton regard balait la
tempête
Pour que le monde se
réjouisse.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 10:36 GMT +1
Un voile d'amour
Prends du temps aux creux
de tes mains.
Prends ensuite l'amour
Et partages-le avec
compassion.
Prends ce jour sans soleil,
Vivre et jouir du plaisir
sensationnel.
Prends enfin cette nuit
douce et en elle,
Vivre des rêves,
les jours plus mélancoliques.
Cependant, il en ait de
chemins sur lesquels
Les hommes s'inclinent vers
le désespoir.
Mais, il en ait d'autres où ils
marchent
Et immobilisent leurs pas
Sous leur conscience.
Ne regrettes plus ceux qui t'ont aimé,
Ne regrettes plus ceux qui t'ont quitté.
Cela n'a aucune importance.
Car devant toi et devant tes yeux,
Un voile traverse l'horizon
Et déclame ce ver pour toi,
Le plus obtus.
Là-bas sur cette montagne,
Chanter la plus belle mélodie
Que tu ais chanté au claire
de cette lune.
Enfin, là-bas encore plus distant,
Réclames ton intuition
perdue.
posté le lundi 09 septembre 2013 à 10:29 GMT +1
Adieu amie
Aimer me sera énivrer,
Car ton amour aujourd'hui,
M’apparait par illusion.
Aimer mes rêves certes,
Je les saurais définir.
Marcher par longanimité,
Mirage à moi, me sera
défaire.
Déstituer de toi, sans doute
Je le suis maintenant.
Imaginer mes défauts,
Tel est ta pratique
Mais pas mon immensité,
Celle qui a de grandeur pour
l'homme.
Amie, l'impulsion
Ne ménage aucun sentiment.
Plutôt la disjonction qui nous
faut.
Envergure de ma capacité,
M’a fallu obéir cette maîtrise.
Enfin que tu saches,
Que la perte d'une amie,
Ne me vaut point de souple.
Ultime, je resterai sans toi,
Comme une nuit sans
sommeil.
posté le dimanche 08 septembre 2013 à 18:59 GMT +1
A celle qui est partie
Pourquoi m'abandonnes-tu ?
Pourquoi ce silence demeure
passionne ?
Qu’aujourd’hui, je revoie
avec nostalgie
En compagnie avec toi,
Dans cette ombre du soir.
Dans cette place,
Le répos nous était étendu
En regardant avec typique,
Les lucioles clignotées.
S’allonger, nos pensées
étaient communes.
Puis ton visage était si pâle,
Que le ciel à l'éclat de sa lune
radieuse.
Hélas ! On s'aimait,
On jouait et on souriait.
Je ne saurais où te retrouver.
Je ne connais ni route de ton
paradis,
Ni personne qui semble à toi.
Ô beaux moments ordonnés,
Que seul ce souvenir qui
reste à germer
Peu à peu au prisme de ma
mémoire
A cette ultime imperfection,
à jamais.
posté le dimanche 08 septembre 2013 à 14:27 GMT +1
Amour
Je t'aime, pas par pitié.
Mais par amour.
Ma main dans la tienne,
Se ténir et se maintenir
sensiblement.
Mon bras t'épauler,
Se tendre et se compenser
Dans la tendresse.
Je t'ai donné mes nuits
de sommeil,
Pas mes jours ensoleillés.
Parce que les jours sont normes
Des charmes inconnus.
Mais les nuits sont
sombres
Et des rêves
ensorcelés.
Je t'aime, pas par pitié,
Mais par amour.
Même si l'amour est finesse,
Qu'il suffise encore
Plus grand pour toi, Rien que pour toi.
Chargement des articles suivants..